La «5G», cinquième génération de réseaux mobiles, vise à améliorer le débit pour une capacité d’échanges de données plus fluide. Elle vise également à développer des services innovants pour les particuliers et pour les entreprises dans de nombreux domaines : la gestion des équipements médicaux dans l’hôpital, la télémédecine, les navettes autonomes…
Les réseaux mobiles se caractérisent par la possibilité pour les utilisateurs de connecter leurs terminaux (téléphones mobiles, smartphones) directement aux antennes des opérateurs par l’utilisation d’ondes (ou fréquences) radio.
C’est l’Arcep, l’autorité française en charge des télécommunications, au niveau national qui autorise les opérateurs mobiles (et donc leurs clients) à utiliser des fréquences radio sur lesquelles ils font déjà fonctionner leurs réseaux 2G, 3G et 4G. C’est l’ARCEP qui est en charge de l’attribution des fréquences aux opérateurs, suivant une procédure d’enchères.

La 5G est-elle mauvaise pour l’environnement ?

L’avis de l’ARCEP est partagé sur le sujet :

Les émissions de gaz à effet de serre relatives au numérique sont loin d’atteindre celles des secteurs du transport ou du logement, mais, avec l’évolution des usages, elles peuvent augmenter rapidement.

La 5G va permettre aux usages numériques de se développer et induire la fabrication de nouveaux équipements. Mais, elle a aussi une meilleure efficacité énergétique à trafic constant et ses usages peuvent contribuer à réduire les dépenses énergétiques et/ou l’impact environnemental d’autres secteurs (transports, agriculture).

L’ARCEP a ouvert une plateforme de travail sur le thème « pour un numérique soutenable ». A travers une série d’ateliers participatifs, l’Arcep appelle les associations, entreprises, opérateurs et personnalités du numérique à se pencher avec elle sur la question de l’impact environnemental des réseaux télécoms et des terminaux. Un rapport devrait être rendu en fin d’année.

L’ARCEP a également créé le baromètre vert, en lien avec le Gouvernement et l’Agence de la transition écologique (ADEME). L’indication de l’impact environnemental (gaz à effets de serre) et donc sur le réchauffement climatique, de la consommation de data et de l’utilisation des terminaux aux abonnés, deviendra obligatoire à partir du 1er janvier 2022.

https://www.arcep.fr/

À lire aussi :
  • Plusieurs rénovations de voiries démarrent sur la Commune

    M236 Avenue Émile Hugues Rabotage de chaussée, purges ponctuelles, réfection de la couche de roulement, réfection de la signalisation horizontale. COUT 180.000€. Démarrage des travaux le 2 juin 2025 pour une durée de 4 nuits (sauf intempéries et imprévus). Réduction momentanée de voies de circulation régulée par alternance. Stationnement interdit sur l’emprise des travaux. Chemin […]

  • Avec « Le Bel Instant » le chant lyrique entre à la Cathédrale

    Concert en la Cathédrale, Dimanche 17 août à 18h30 L’ensemble « Le Bel Instant » se compose de trois chanteurs lyriques, Pierrick BACHELIN haute-contre, Olivier de NARNAUD ténor et haute-contre et Eric CASSIMATIS basse. Il s’est naturellement constitué en prenant la suite du festival « Musique au Boschet » animé par ces trois musiciens pendant une quinzaine d’années au […]

  • Votez pour votre talent Nuits du Sud

    Qui montera sur la scène le 10 juillet 2025 à 20h30 ? C’est à vous public de décider ! Il s’agira de déterminer qui parmi les 4 talents Nuits du Sud sélectionnés pour une seule date, de déterminer lequel se produira en première partie sur la scène vençoise… au public de le choisir ! Le […]

Start typing and press Enter to search

Mairie de Vence
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.